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A la Une : mécontentement à l’ORTB, révocation à l’UP le Renouveau,…

Christelle Houndonougbo n’est plus à la tête de l’administration du parti UP-Le Renouveau. L’information est à la Une de plusieurs canards parus ce mercredi 30 octobre 2024. 

Christelle Houndonougbo n’est plus à la tête de l’administration du parti UP-Le Renouveau. L’information est à la Une de plusieurs canards parus ce mercredi 30 octobre 2024. 

Fraternité porte l’information en manchette. Direction de l’administration de l’union progressiste le renouveau : Christelle Houndonougbo Alioza relevée de ses fonctions pour faute grave. Christelle Houndonougbo déchue, nous dit Bénin Intelligent

Le Matinal a également eu vent de l’information et annonce que Christelle Houndonougbo a été limogée. Mes confrères d’Akpakpa Dandji ont parcouru la décision et rapportent qu’il lui est reproché d’avoir, de son propre chef et sans en avoir reçu pouvoir spécial ou une quelconque habilitation du parti et encore moins de son président, engagé, poursuivi et conclu, le 8 octobre dernier, un contrat dénommé « mémorandum » qui engage le parti à l’égard d’un cabinet dénommé « particip GMBH ».

Un limogeage que le quotidien invite cependant à ne pas prendre au premier degré puisque symptomatique d’un malaise profond. Le Soleil Info Bénin émet les mêmes réserves  et révèle à sa Une ce qu’il considère comme « les dessous de la révocation de la DA Christelle Houndonougbo ». Le canard explique que depuis qu’elle a ouvertement apporté son soutien à l’homme d’affaires Olivier Boko sur sa page facebook, il se murmurait dans les couloirs du parti que Christelle Houndonougbo allait y laisser sa peau. 

Info circulation dans cette revue, des taxi-motos de Cotonou pourraient ne plus pouvoir circuler à partir du 18 novembre. La Nouvelle Tribune apporte l’info à sa Une. Cotonou : Contrôle des numéros et taxes des taxi-motos à partir du 18 novembre. 

Le Télégramme reprend également l’information en manchette. Opération de vérification de faux numéros et du paiement de la taxe : la mairie de Cotonou annonce un contrôle des zémidjan. L’Evénement Précis indique en manchette que la mairie de Cotonou invite les taxi-motos à se mettre en règle. Le journal précise à sa page 3 que les intéressés sont invités à se mettre impérativement à jour au plus tard le vendredi 15 novembre 2024. 

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A écouter ici…

Le communiqué parcouru par mes confrères fixe les frais d’enregistrement à 300 francs cfa. La taxe annuelle est, pour sa part, de 4800 pour les deux roues et de 7200 fcfa pour les trois roues.

Loin des routes et des bureaux de l’hôtel de ville, les canards nous annoncent que  la tension monte à la SRTB. 

Grogne dans les médias au Bénin : les travailleurs de la SRTB haussent le ton, titre en manchette  Matin libre. Le Matinal nous apprend que ce sont les réformes et les conditions de travail qui créent des grincements de dents à la SRTB. Le syntrap Bénin projette l’opération Fire for fire, ajoute le journal. 

Fraternité a assisté à l’assemblée générale et reprend en manchette les plaintes des travailleurs de la SRTB. Selon Armel Dossou-Kago, Secrétaire général de la Syntrap, les réformes entreprises par le gouvernement de la rupture au profit de la Srtb méritent d’être encouragées, car elles viennent rehausser l’image de ladite structure. 

Mais les travailleurs ont l’impression d’être chosifiés, avec des conditions de vie et de travail précaires. Le syndicaliste dénonce le manque de personnel aggravé par le non-renouvellement des contrats de travail de certains agents malgré les avis motivés de leurs supérieurs hiérarchiques et le manque de budget de production et de fournitures de bureau, la non-implication du personnel et de ses représentants dans la mise en œuvre des réformes et la caporalisation de la gouvernance de la SRTB par la tutelle.

Selon le syndicaliste, « cet état de choses compromet les grandes ambitions des dirigeants au plus haut niveau pour l’audiovisuel public », a-t-il ajouté. 

Au regard de ce qui précède, les travailleurs ont décidé de passer à la vitesse supérieure. « Si ceux qui mettent le feu ne sont pas fatigués, ceux qui apportent l’eau pour éteindre le feu sont désormais fatigués. S’ils mettent le feu, nous allons mettre le feu avec eux. Nous n’accepterons plus d’être maltraités », lâche le syndicaliste dans les colonnes du Matinal.

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